J’ai grandi à la campagne et j’ai gardé un lien très fort avec la nature.
C’est même vital pour moi.
Au fil des ans, j’ai accumulé les cailloux transmis par mes parents, mes ancêtres et tous ceux plus ou moins gros que j’ai ramassés au cours de mes expériences de vie. Je pourrai même dire que certain ressemblaient plus à des menhirs !
La vie mouvementée de femme mariée, puis divorcée, élevant ensuite seule ses enfants tout en conciliant travail, périodes de chômage et toutes les tâches du quotidien….
Bref, je voulais être Superwoman, je ne m’accordais pas le droit de tomber malade.
Quand le sac de cailloux devient beaucoup trop lourd à porter, il est difficile d’avancer et le corps lance des alertes pour dire : « Attention, ralentis ! ».
J’ai frôlé le burn-out à plusieurs reprises jusqu’à ce que je découvre la sophrologie.
Ayant auparavant entrepris un travail de développement personnel, les séances de sophrologie m’ont apporté ce que je ne trouvais pas ailleurs : des temps de pause centrés sur mon intériorité, de lâcher-prise total. J’ai enfin compris que prendre soin de soi, c’est avant tout écouter son corps, ses ressentis sans analyse et sans jugement pour pouvoir être en harmonie avec sa conscience.
Les techniques de relaxation dynamique et plus spécifiques comme le déplacement du négatif, la somatisation du positif m’ont aidée à me libérer de mes cailloux encombrants et de jeter au fur et à mesure les nouveaux que je ramasse sur mon chemin.
Depuis, la pratique, les prises de conscience de savourer le présent et de prendre ma place dans mon environnement sont mes clés pour vivre mieux avec davantage de lucidité et de sérénité.
Souvent, je me suis dit que j’aurai aimé connaître la sophrologie plus tôt dans mon parcours de vie.
Quelle aide précieuse, cela aurait été dans les épreuves douloureuses que j’ai vécues !
Avant d’embrasser la profession de sophrologue qui me remplit de joie, j’ai exercé pendant 17 ans le métier de formatrice et accompagnatrice socio professionnelle.
Toutes ces années ont été riches en rencontres humaines et tant de parcours de vie difficiles (souffrances, perte d’estime de soi, de confiance en soi).
J’ai développé mes capacités d’écoute des attentes et besoins des personnes en difficultés sociales, professionnelles ou ayant des problèmes de santé, un handicap.
Tous les accompagnements m’ont enrichie de par la diversité des personnes , des chemins de vie et m’ont apportée également une meilleure compréhension des maux vécus par les femmes et les hommes de tout âge : Burn-out, dépression, perte d’emploi, deuil de personnes, deuil d’un métier suite à accident du travail, de la vie, victimes de violence, séparations douloureuses, précarité…
J’ai toujours été tournée vers les autres, dans la relation d’aide bienveillante et à présent je souhaite transmettre tous les bienfaits de la sophrologie qui est un art de vivre. Elle opère une transformation en nous, nous fait voir la vie autrement avec un regard neuf.
Pour cela, je me suis formée pendant deux années à l’institut de formation Zuili d’Avignon et ai obtenu mon diplôme de Sophrologue relationnelle. La formation est vraiment centrée sur la personne, l’écoute du sophronisant(e)* est primordiale et permet d’adapter au mieux les protocoles des séances.
Savoir utiliser des clés pour laisser filer le tourbillon de pensées négatives, au moins le temps d’une séance de sophrologie pour pouvoir lâcher-prise, revenir au corps, avoir conscience de ses sensations corporelles : c’est donc revenir à l’essentiel.
A présent, il me tient vraiment à cœur de vous accompagner pour vivre des séances en individuel, en groupe ou / et pour faire l’expérience de sophro balades.
Alors laissez-vous tenter par ses moments privilégiés.